Tant de chemins s'entrecroisent à travers le
labyrinthe des bonheurs décus, des rires étouffés,
des rêves oubliés de ton histoire.
Tourbillon de pierre, de marbre, de bois séculier,
entrelacs de fer forgé, la vitalité de ta présence,
ne me fait pas oublier, qu'il n'y a qu'une marche pour
perdre pied.

Rodolphe Hammadi
Fevrier 1987

1 commentaire:

  1. Bonheurs anciens ne sont pas tous déçus, ils restent vivants en nous, lumière vers d'autres bonheurs

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